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Découvrez ci-dessous le film gratuitement (sortie en 2018), offert par Rayon de Lune et Manikeo.

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Affiche et Trailer
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Making of (BTS)

Projection à Narbonne-Plage

Projection à Carcassonne

Projection à Leucate

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Projo

Genèse du film et mise au clair :

Cela faisait longtemps que j'avais en tête, un projet de film environnemental (j'étais déjà en train de finir d'écrire un roman d'anticipation, sur la défense de la nature (Ataraxia)) et avec Sandy Garandeau, nous voulions faire un projet en commun sur ces thèmes. Nous étions en pleine réflexion et écriture. Sandy, qui travaillait pour l'association naturaliste Aude Nature (asso avec laquelle j'ai travaillé longtemps et pour qui, j'ai fait : charte graphique, logo, site internet, vidéos de présentation, PAO de leurs 2 livres, création de leurs affiches évènementielles, plaquette animation sur le moustique Tigre etc.), et Sandy, en tant que végane, ornithologue, naturaliste et spécialiste de la préservation de la biodiversité, elle voulait m'apporter ses conseils pertinents pour avancer dans ces sujets qui lui tenaient à coeur.

 

Puis, nous avons rencontré M. Frédéric Ambrosini, qui se présentait comme "Producteur de cinéma", qui disait avoir une "idée" de court-métrage de fiction, qui mettrait en scène des "célébrités" qui diraient des citations un peu "écolo" pour montrer leur engagement dans le but de sensibiliser et de ne pas "laisser aux enfants une planète, autre qu'une poubelle de l'humanité". Il avait déjà prévu de filmer, mais n'avait pas de scénario concret, ni de réalisateur, ni d'équipe technique, ni de société pour porter officiellement et légalement le projet. Il m'avait annoncé qu'il connaissait bien Nelson Montfort, le journaliste sportif de France TV et que le (futur) film n'attendait qu'un dossier de présentation et un teaser vidéo pour être pré-acheté et diffusé sur France TV. C'est ainsi que j'ai décidé de monter notre film en partenariat avec lui, et de commencer avec son premier tournage, comme il me l'avait demandé.

 

En quelques jours, j'ai pensé, inventé et écrit un scénario de teaser (déposé à la SACD) sur la base du lieu qu'il avait choisi pour tourner cette première étape, et de ce qu'il avait annoncé aux 3 comédiens présents (c'est-à-dire des infos sur la durée du tournage et le texte à énoncer : une phrase de citation...), et aux figurants, avec un groupe d'enfants. Puis, j'ai préparé le tournage, en rapport avec le scénario de ce teaser (Bande annonce), que j'ai structuré d'après ces éléments. J'ai organisé le tournage, réalisé le tournage, fait le montage du teaser. Les premières images étaient dans la boite. Je venais avec mes compétences, mon matériel et mon travail, à mes frais (ceux de ma société, les assurances, les déclaratifs administratifs) (même s'il a participé à défrayer une partie de mes déplacements), c'est ce qui a fait que nous sommes devenus co-producteurs de ce teaser. Surtout, que j'étais le seul à avoir une société (de production) et des compétences et de l'expérience, pour encadrer officiellement ce type de projet (ma société portait légalement le film, et seule, de fait).

 

Il m'a fallu quelques temps pour trouver comment transformer ce "Teaser" en un vrai film, court-métrage. Quelques semaines (mois) de plus ont été consacré à la recherche et la formation pour m'informer sur les sujets à aborder et à comment les défendre, pour me cultiver et réfléchir à une trame narrative pour une version plus concrète.

 

J'ai échangé avec M. Ambrosini, au sujet du scénario que j'étais en train d'écrire, et concernant la tournure plus documentaire que j'avais décidé de prendre et je lui ai demandé si on était toujours sur la même longueur d'onde et sur un projet commun, pour lequel il continuerait de s'investir.

 

Au fil de mes Interviews, le film prenait une autre dimension, pour être plus long qu'un court-métrage, et il se transformait pour donner la parole à des associations locales, ce qui me semblaient plus légitime et plus pertinent pour parler d'environnement qu'uniquement des célébrités. Il m'a dit "oui, fonce, mais  maintenant, il faut le film entier terminé, pour le présenter à Nelson Montfort et pas seulement un dossier et un teaser". Du coup, je me retrouvais dans une problématique de comment financer la production du film avant de le vendre à France TV. Surtout que d'après mon expérience, un film pour France TV ou une autre chaîne, ne se finançait pas comme ça, après coup, mais en amont, d'après dossier. Mais je faisais confiance à ce monsieur.

Le COVALDEM 11, a vu un article de presse sur M. Ambrosini, (écrit avant le premier tournage) et est arrivé pour proposer de financer une partie du film, avec l'espoir que le film serait projeté sur France TV. Il manquait beaucoup de financement et j'avais du mal à trouver d'autres financements et le temps avançait, mais comme je m'étais engagé pour projeter le film à la fin de la semaine du Développement durable organisé par la ville de Narbonne, (qui ne souhaitait pas participer au financement, juste proposer une diffusion du film terminé...), j'ai continué de monter le projet, à mes frais et avec mes moyens. J'ai passé plus de 8 mois, conseillé et accompagné par Sandy Garandeau, à chercher du financement, à me former sur les sujets (assister à des conférences, lire des ouvrages, regarder des films, rencontrer et "caster" des futurs intervenants...),  à chercher des intervenants locaux, à aller interviewer ces "acteurs locaux" entre narbonne-plage, Leucate et Carcassonne...  

 

Le film prenait logiquement la tournure du film qu'on avait prévu de faire avec Sandy. et le "Teaser" n'avait plus rien à voir, car il n'y avait rien derrière et ne pouvait vivre qu'en Teaser... mais il pouvait toujours être intégré au scénario que j'avais défini pour mêler fiction et documentaire, afin de ne pas perdre ce qui avait été fait et ne pas décevoir, les personnes déjà impliquées. M. Ambrosini, qui souhaitait seulement avoir son nom en tant que producteur au générique, ne s'intéressait même pas lorsque je lui racontais ce que je faisais... et n'était jamais présent à aucun tournage, il ne trouvait pas plus de financement pour m'aider à faire le film et n'avait aucun rôle juridique, ni administratif, puisque c'est moi qui faisait tout et tout seul (aidé de Sandy).​ Et lorsque je l'interrogeais concernant la future vente à France TV (alors que je connaissais la mécanique de sélection et de pré-achat), il continuait de me dire que ça allait passer par son contact et qu'il fallait juste attendre que passe les compétitions sportives pour reprendre contact avec M. Nelson Montfort. Il me donnait toujours des nouvelles excuses concernant la pré-vente à France TV qui n'arrivait pas...

Il me semblait trop limitant de cadrer le film en court-métrage. Du coup, le film est devenu un long métrage. Je n'ai eu aucune nouvelle de M. Ambrosini pendant 6 mois, concernant ce film.

Mais deux jours avant la première projection à Carcassonne pour le COVALDEM 11, (projo avant celle de Narbonne), il me dit, "c'est bon, je viens de créer ma structure de production", tu vas pourvoir m'ajouter dans le générique en tant que producteur...". J'ai dit, "oui ok, je préciserai en tant que co-producteur du teaser" sur le générique, il m'a dit, "non aux crédits du film complet..."

 

J'ai répondu que nous étions définitivement plus sur la même longueur d'onde, puisqu'il n'était même pas au courant de ce que nous avions fait avec Sandy Garandeau et que dans ce contexte, de ce film complet, long-métrage, il n'avait rien fait du tout. Il m'a rappelé que c'était son idée le teaser et j'ai confirmé que c'était bien une idée lancée en l'air et un titre, mais qu'il n'y avait pas de texte (à part des citations), ni un scénario, ni une intention de réalisation. (J'avais fait le dossier, l'affiche, le site internet en plus du reste...). Et que c'est déjà moi qui avait tout écrit et pris en charge sur mon entreprise à cette époque. De plus, il n'était plus question d'une diffusion sur France TV, et il me disait que j'avais mal compris ce qu'il avait dit à ce sujet...

 

Ce fut pour moi la goutte d'eau. Il m'a rappelé que c'est lui qui avait fait venir les comédiens et qui avait financé en partie le teaser, avec la personne qui avait fait venir et qui aurait payé Tonya Kinzinger pour le tournage. Tonya était venue pour animer une masterclass dans l'école de théâtre (Art Studio Academy à Narbonne) de cette personne, Aurélie Julia, le samedi après-midi. Du coup, intéressée par le projet proposé, Tonya a accepté de venir sur son temps libre et bénévolement (m'a-t-elle confirmée, elle-même), le samedi matin pour participer au tournage. De même pour les autres comédiens et pour JC Wery, compositeur de la musique du teaser. M. Ambrosini et Mme Julia, m'ont bien fait comprendre qu'ils étaient à l'origine du film et qu'ils voulaient être crédités au générique comme producteurs du film complet (ignorants que c'était devenu un long-métrage documentaire... enfin, ignorant ce qu'il y avait dans le film, tout court...), car les idées des scènes du teaser et le titre "héritage" étaient de leur paternité. (alors que j'avais moi-même acheté noms de domaines et fait dépôt de mon dossier et de mon scénario, pour le teaser...). Je leur ai dit que j'étais ok pour les mentionner comme co-producteurs du teaser. Ils en voulaient plus. J'ai refusé et j'ai décidé de me couper de la partie qu'ils revendiquaient, plutôt que d'accepter leurs exigences, que je trouvais injustes et mal venues.

Comme j'avais en ma possession, toutes les images du tournage du teaser (puisque j'étais le cadreur, avec ma caméra et mes disques durs, et que j'étais devenu de fait, le seul producteur et décideur et que c'est moi qui faisait le montage), j'ai décidé d'en rester là concernant le teaser, de couper cette partie (2 mn sur 1H25 de film (première mouture avant d'être remonté à 1H02, plus tard)), de changer le titre, et de retirer toutes les images et musiques qui avaient été tournées ou prévues pour le teaser.

 

Je me suis excusé auprès des célébrités qui avaient donné de leur temps pour le teaser, en expliquant qu'il s'agissait d'un nouveau film qui n'avait plus rien à voir avec les images tournées pour le teaser, changement lié au manque de financement, mais surtout lié à une dissonance entre mon projet et celui de M. Ambrosini. Je n'allais pas travailler sur une version de film auquel je croyais moins plutôt que sur ma propre vision du film, alors que j'étais le seul (avec Sandy) à tenir la barre du bateau et que je finançais moi-même...

Le film est devenu "L'écho citoyen", un long métrage documentaire, qui donne la parole aux acteurs locaux du développement durable, et qui n'a donc plus rien à voir avec "l'idée" de F. Ambrosini de faire un court métrage de fiction avec des célébrités...

Il me semblait important de clarifier certaines choses et de préciser, 4 ans après (puisque je ne l'ai pas fait publiquement à l'époque), ma version des faits et ma prise de position.

Arnaud Cornet dit MANIKEO : Producteur, auteur, réalisateur.

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